Catégories : Femmes fessées
il y a 2 ans
Nous avions jusqu’à présent joué un peu autour de la fessée, ce n’était que des préliminaires même pas piquants, juste un jeu de coquins et des caresses. Ces caresses là m’excitaient, même si je ne savais pas ce qu’était une réelle fessée. Je n’en avais jamais reçues. Et puis mon coquin a été muté, les militaires de carrière c’est bien et pas bien pour ça.
Mes lectures de nouvelle célibataire m’ont conduite sur des sites coquins. Je lisais parfois que d’une main en laissant courir mes doigts pour entretenir la flamme. Il m’est arrivée de m’allonger sur mon fauteuil et, en fermant les yeux, d’aller plus loin dans les caresses. La lectrice devenait héroïne de ma propre histoire.
« Une bonne déculottée te mettra du plomb dans la cervelle » me disait à chaque fois mon apollon imaginaire.
Et puis il y a eu Tom sur le forum fessée qui a su titiller avec élégance mon imagination. Nous sommes passés du forum aux messages privés plus intimes, ce goujat là savait me tirer les vers du nez. Il n’écrivait jamais de mot vulgaire, son écriture était soignée même dans ses « analyses » de mes réponses. A chaque fois il me poussait un peu plus dans les confidences. J’ai fini par lui avouer que j’aimerai recevoir une vraie fessée pour voir.
Il m’a répondue « pourquoi » ? Est ce que nous la scénarisons ? Est-ce qu’elle serait pour un motif légitime ? Est-ce que vous souhaiteriez devoir la subir jusqu’au bout ou simplement trois claques sur les fesses ?
J’ai commencé par lui demander si il se sentait de faire les 800 kilomètres qui nous séparent pour venir me la donner ? Sa réponse m’a perturbée !
- J’ai déménagé il y a deux mois, je réside à présent pas loin de chez vous. Il faut d’ailleurs que je corrige mon profil. Si vous désirez aller au delà de vos simples fantasmes, je suis disposé, en tout bien tout honneur évidement, à vous faire découvrir ce qu’est une réelle fessée. Vous pouvez évidement décliner cette aimable proposition, beaucoup de femmes fantasment sur la fessée et c’est leur droit le plus absolu. Tout le monde à des fantasmes mais ne les réalise pas.
Encore une fois, il me respectait dans sa réponse, il acceptait d’avance que je puisse uniquement fantasmer sur la fessée. C’est ce qui m’a mise en confiance et décidée à sauter le pas. Il nous restait donc à décider de la forme, enfin, surtout moi car il ne m’imposait rien. « Scénarisée ou légitime » était sa première question.
J’ai donc choisi légitime, pour moi cela aurait plus de sens, jouer à l’écolière ne m’amusait pas. Il m’a demandée si il devait me donner une vraie fessée ou une simple fessée de découverte. Par prudence, j’ai répondu « de découverte ». Et là, il m’a répondu que cela ne serait donc pas une vraie fessée, que je passerai donc à côté d’une véritable expérience.
Cela m’a perturbée ! Encore une fois il me poussait dans mes retranchements tout en me laissant le choix. « Et zut, je n’en mourrai pas » me suis-je dit en lui disant que j’étais d’accord pour une vraie.
- Je vous propose donc de définir qu’elle bêtise vous aurez faite qui justifie de venir être punie par une vraie fessée. Nous ne sommes pas pressés, n’inventez pas, attendez de l’avoir faite pour me le dire. A ce moment là, je vous donnerai rendez-vous pour en parler avant de vous fesser. Ne pas savoir quand, vous permettra d’y penser avant notre rencontre. Peut-être même que cela vous excitera tout en vous faisant un peu peur. Cette crainte peut être grisante, qu’en pensez-vous ?
ZUT alors ! J’étais décidée à sauter le pas de suite moi ! Monsieur jouait au chat avec la petite souris, moi ! Ce qu’il y avait de bien avec Tom, c’est qu’il n’était pas pressé de voir mes fesses. Ce qu’il y avait d’ennuyeux, c’est qu’il joue ainsi avec moi et de fait, rien que dans ses messages, il me faisait sentir sa sagesse et son autorité. Autorité sur moi ? Qui l’aurait cru ! ! !
La bêtise, je l’ai faite en voiture. En voulant doubler quelqu’un par la droite en ville, au lieu d’attendre qu’il ait tourné, j’ai fait sauter son rétroviseur et le mien. Rien de grave en soit mais ce petit accident était, encore une fois, lié à mon impatience. J’aime quand les choses bougent, les gens flancs m’ennuient.
Le soir même je lui ai donc annoncé que j’avais fauté. Le gros gag pour moi, est que j’avais honte, un peu peur, alors que jusque là, pour moi, il n’était qu’un parfait inconnu du net.
- Il ne nous reste donc plus qu’à prendre rendez-vous. Vous viendrez chez moi un soir de cette semaine. Je vous veux en robe ou en jupe, pour une simple et bonne raison : votre pudeur. En effet, si vous venez en pantalon, je serai obligé de le baisser et ce sera plus gênant pour vous que d’être simplement troussée.
Sur cette tirade encore logique et respectueuse, il m’a donnée son adresse et son numéro de téléphone au cas où je me perdrai. A la suite de quoi il m’a laissée le choix du jour. Lasse d’attendre, je lui ai proposé d’y aller de suite puisqu’il n’était que 20 heures.
- Non, demain à 19 heures, je veux que vous preniez le temps de penser à votre faute et à ses conséquences.
L’enfoiré ! (Et encore je suis polie) Il a réussi à perturber ma nuit et ma journée. En plus, j’ai été obligé d’aller travailler en robe alors que je n’en porte quasiment jamais au travail. Et bien entendu, le lendemain il y avait les gilets jaunes qui créaient des embouteillages. Je me doutais bien qu’arriver en retard au rendez-vous me serait reproché.
Arrivée devant chez lui, un charmant pavillon en banlieue, j’avais les mains moites et des sueurs. Sonner à sa porte me fut très difficile mais il était hors de question que je me dégonfle. « Oh mon dieu » ai-je pensé en levant la tête. Tom fait un mètre quatre-vingt-dix, la carrure d’une armoire mais avec un visage à faire fondre et même un peu humidifier la « lolotte ». Un très beau mec en forme d’armoire.
A partir de là, les choses se sont enchaînées très vite. Il m’a prise par la main comme une gamine en râlant après mon retard. Tout en me tirant dans son salon, il m’a précisée avec une voix grave et posée que j’allais devoir apprendre la ponctualité, sans quoi, mes fesses allaient souffrir. J’étais réellement tirée par le poignet. Il s’est assis sur une chaise et m’a demandée de poser mes affaires sur la table avant de lui expliquer la raison de mon retard.
- Anticiper pour ne pas être en retard est une sagesse, nous allons aussi en parler ! Racontez-moi à nouveau les détails de cet accident. Étiez-vous pressée au point d’abîmer votre voiture et celle d’un inconnu ?
En répondant à ses questions, je m’embrouillais lamentablement alors que je n’ai aucun problème pour parler en public. Là, c’était différent, j’étais debout en train de rendre des comptes à un mec que j’aurai bien embrassé mais qui me faisait peur. Peur dans le sens où je savais que la fessée n’allait pas être pour rigoler ni pour faire du sensuel. Agacé par mes explications, Tom m’a attrapée par le bras et couchée sur ses genoux. Lorsque sa jambe de mammouth a bloqué les miennes, j’ai immédiatement senti que je ne risquez pas de lui échapper. je n’ai pas eu le temps de prier !
Il a remonté ma robe et à immédiatement commencé à me claquer les fesses par dessus ma culotte en comptant les minutes de retard. J’avais 20 minutes de retard et j’ai bien senti les minutes sur mes fesses. Chaque minute m’a value une claque. Rien que là, j’avais mal aux fesses mais ce n’était que le début !
Quand il a tiré sur ma culotte pour la baisser, j’ai crié « non » et j’ai essayé de l’arrêter. Essayer est le mot adapté puisque mon bras a été immédiatement bloqué dans mon dos. Jupe relevée et déculottée sur ses genoux, c’est avec des milliers de fourmis dans l’épiderme fessier totalement dénudé que j’ai du écouter sa leçon de morale. Cela n’avait rien d’excitant ! ! !
C’est quand il m’a annoncé que l’heure de ma vraie fessée venait de sonner. Le mot « vrai » a littéralement bloqué l’air dans ma gorge serrée. Parce que les 20 premières c’était pour rire ? Me suis-je demandée avec l’estomac se serrant d’angoisse. Et là, sa main s’est abattue x et x fois comme un métronome. Fesse droite, fesse gauche, fesse droite, fesse gauche et à chaque fois, je serrai un peu plus les dents pour ne pas crier. Mes fesses prenaient feu, c’était une vraie de vraie sa fessée et lui échapper n’était vraiment pas possible. Au bout d’un moment, mes yeux se sont mis à mouiller, je me suis mise à renifler.
- Maintenant, il reste la conclusion par une bonne série, qui, je l’espère, saura vous appendre la patience au volant !
Il s’est remis à me fesser à toute vitesse, c’était horrible, intenable, insupportable et j’ai fini par craquer et pleurer comme une madeleine. Il n’a pas insisté et m’a laissée reprendre mon souffle quelques instants.
- Respirez, remettez-vous. Vous méritiez cette fessée mais vous avez été très courageuse, je vous en félicite. Par contre, il va falloir que je vous allonge sur la table et que je vous soigne un peu les fesses, promis, il n’y a rien de déplacé. Considérez cela comme un soin.
Soulevée comme si je pesais le poids d’un coussin, je me suis retrouvée allongée sur le ventre au-dessus de sa table de salon. Quelques secondes plus tard, il passait de la pommade sur mes fesses sans que jamais ses doigts ne s’aventurent entre mes cuisses. C’était réellement un soin qu’il me dispensait. Mon fessier irradiait, un peu brisée psychologiquement et physiquement je ne réagissais plus. Je me laissais simplement aller à ses caresses apaisantes.
Tom m’a ensuite aidée à me lever, puis s’est genouillé devant moi pour remonter ma culotte. A 25 ans un homme me rhabillait ! ! ! Je me suis réellement sentie comme une gamine.
Il est ensuite allé s’asseoir sur le canapé et m’a dit « câlin », j’ai répondu « câlin » avant de prendre place sur les genoux de celui qui, deux ans plus tard est devenu mon « daddy » et mon chéri. En tant que chéri, c’est un véritable amour, en tant que daddy, un sauvage !
FIN
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